C'est tout un art que je ne maitrise pas encore. S,inventer du travail est une bonne idée; mais on garde toujours à l esprit la notion de rentabilité et d’efficacité Bref ce n'est pas un problème.bien grave et ça fait passer le temps
Parler , se faire entendre quoi de plus naturel. Tout le monde n'a pas cette chance.Je découvre en ce moment une methode révolutionnaire qui nous vient des U S A pour retrouver sa voix .Elle a été conçue pour les Parkinsonniens.C'est prenant mais semble efficace. Il faut s'accrocher
Depuis des mois Martha vivait en marge de la société.Celà c était fait sans bruit et sans douleur. Impossible de revenir en arrière. Elle n'était plus qu'une survivante livrée au bon vouloir de son entourage.De temps en temps quand le fardeau était trop lourd elle soupirait et laissait échapper quelques plaintes . La vieillesse n'est pas une maladie que diable et tout le monde n'a pas la chance d'y arriver
Les locataires de l'immeuble se connaissaient tous , ils bavardaient dans le hall d'entrée .de tout et rien mais chacun chez soi sauf occasion exceptionnelle, mariage, baptême ou aide alimentaire pourriez vous me dépanner.......oeuf, huile; pain, farine etc......
Chacun restait discret sur la vie des autres mais tout le monde savait ou croyait savoir ce qui se cachait derrière la façade souriante,bonace impavide 0u renfrognée de la personne. Une personne dirigeait ce petit monde, c'était tante Jeanne. Elle avait instauré des règles que chacun devait respecter sous peine d'un rappel à l'ordre. Chacun devait entretenir son palier et la volée d'escalier qui y menait. Quand on se faisait livrer du charbon dans la cave obligation était faite de nettoyer. Pour le hall elle avait instauré une liste placardée au dessus des boites à lettres
Ordre dans lequel le hall doit être fait. Chacun s'y pliait sans rechigner; même les femmes enceintes magnaient balais et serpillière avec ardeur
PAIX A TON ÄME TATATE
Il appartenait à ma grand mère qui l'avait hérité d'un oncle fortuné et sans enfant qui avait eu la riche idée d'adopter ma grand mère. Cet immeuble de rapport lui assurait de bons revenus. Ma mère ainsi que ma tante payaient leur loyer mais celui çi ne fut jamais augmenté. Tante Jeanne qui était très pauvre sous louait une partie de son appartement l'été, ce qui couvrait ses loyers de l'année. A la mort de ma grand mère ma mère devint propriétaire de son appartement Ma mère se plaignait du manque de lumière, elle avait l'impression de vivre dans une cave et rêvait de quitter les murs. Elle mit 15 ans pour réaliser son rêve après quelques déboires. Le veuf du deuxième lui avait proposé un échange d'appartement après avoir fait faire quelques modifications de la cheminée. Il se rétracta et ma mère dut vivre avec des changements qui lui déplaisaient .
Je le revoie comme si je l'avais quitté hier. Il était situé au premier étage d'un immeuble qui en comptait cinq avec 2 appartements par étage y avait une entrée à droite se situaient la salle à manger donnant sur la rue et la cuisine côté cour.a gauche nous avions la salle de bain et faisant suite une grande chambre et une plus petite lui faisant face je la partageais avec ma sœur. entre les deux il t avaiit les wc.Les2 chambres et les wc s'ouvraient du côté rue.L'immeuble formant un angle nous avions de bons postes d'observation. Mon avenir était lié à cette configuration des lieux.N'anticipons pas quand nous avons emménagé les immeubles d'en face n'existaient pas et de mon lit je voyais les remparts et le soleil inondait la pièce. J'avais choisi cet emplacement je l'ai bien regretté par la suite
Cette 2 ième partie va retracer ma vie de l'âge de douze ans à vingt ans. Il y aura sans doute quelques redites car il me semble avoir fait quelques allusions sur cette période. Je n'ai aucun souvenir de notre emménagement, sinon que ma mère se plaignait de son manque d'argent. Je me souviens qu'en quittant La Gacilly elle s'était débattue avec son propriétaire qui voulait lui faire payer une somme astronomique d'électricité. Je la r revoie droite comme un i jetant son porte monnaie sur le sol en criant= Mais prenez tout monsieur H . Elle m'a avoué plus tard que ce porte monnaie était presque vide .J'avais mis ma mère en garde car la veille le fils du propriétaire était venu relever le compteur et j'avais vu qu'il faisait deux comptes. Chacun des belligérants vida son sac de rancœur Le propriétaire lança ! Je ne vous disais rien quand votre fille faisait de la gymnastique en faisant trembler mon lustre. La fille en question c'était moi assez forte à l'époque. Il me semble que la réconciliation eut lieu un petit verre de vin à la main
Au diable les potions et les calculs le couple princier était résigné. et heureux avec leur 10 filles. Après tout ce n'était pas honteux de n'avoir que des filles. Les journées passaient vite. Les années aussi. Cinq années s'écoulèrent avant que la reine mette au monde le petit prince désiré tant attendu par tous. Pendant 3 jours et 3 nuits ce furent des festivités dans le royaume le vin coulait à flot et les victuailles s’amassaient sur les tables Riches et pauvres pouvaient trinquer et manger gratuitement. Les fêtes se terminèrent dans un feu gigantesque
De retour de son expédition punitive; le roi s'affala dans son fauteuil et se mit à réfléchir . Après tout ce n'était pas si mal d'avoir 10 filles, elles étaient belles joyeuses et en bonne santé. De plus elles étaient serviables et se bagarraient pour retirer ses bottes sans crainte de se salir. Les Lunas aimaient le parfumer et lui faire de petites tresses dans sa barbe ce qui amusait le roi et faisait rire la cour. Une fois ces amusements terminés le roi se rendit à la nurserie. les Léones étaient en forme elles hurlaient en serrant leurs petits poings. Ce serait des guerrières pensa t il.
Les Lunas étaienr sages et les ardeurs de Sauvagine s'éraient un peu calmées. La reine décida de faire un dernier essai. Direction la cahutte de la sorcière. Face è ses échecs celle çi ne manifesta aucun remord et m^me elle convainquit Emmeline qu'elle était responsable. La formule fut modifiée et les doses doublées Neuf mois plus tard la reine mit au monde 3 filles à la chevelure flamboyante Leone Léa Léonie
Le roi furieux galopa droit sur la sorcière faisant voler en éclats les fioles, les gris gris et autres objets inhérent à la profession . Puis il la chassa hors du royaume lui intimant de ne plus y revenir sous peine d'être punie. Et pour finir il mie le feu à la cahutte
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